La Fast-Fashion représente une part importante du marché de la mode. En effet, dans ce contexte de mondialisation, où les lois douanières sont assez souple, on compte 100 milliards de vêtements sur le marché.

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On ne consomme plus selon nos besoins mais bien pour être au gout du jour, quitte à acheter de trop. En témoigne notre consommation vestimentaire qui n'a autre que doublé.

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Chacun y trouve son compte : les consommateurs s’emparent des dernières tendances, souvent calquées de celles des plus grandes maisons de mode, et les enseignes de cette branche, elles, récoltent les bénéfices de cette surconsommation.

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Aujourd'hui, il est important pour nous de soulever les travers de ce phénomène qui ne sont pas des moindres. On en distingue d’ailleurs deux types : l’impact environnemental et social.